La forêt du Talban
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La forêt du Talban
La Forêt ancestrale est longée par la Conquérante sur sa périphérie Est et Nord. Contrairement aux portions côtières de cette route ancienne, sur cette boucle la végétation a souvent repris ses droits et certains tronçons disparaissent littéralement dans des sous-bois.
Il arrive que le voyageur ait la chance - ou la malchance - d'apercevoir un représentant du peuple des Fées, ces êtres capricieux, malicieux et parfois dangereux, qui ne se plient qu'à leurs propres règles.
Il existerait parmi eux une noblesse très hiérarchisée, qui échappe totalement à la perception commune : le Reine de la Nuit et de la Magie en est la souveraine, mais règne en alternance avec son mari, l’amer Roi baigné de Lune. Puis vient le Roi des Rivières, la Reine des Glaces, Le Roi Ours. La forêt du Talban se situerait d’ailleurs sur les terres de ce dernier, le plus faible politiquement parlant, que l'on surnomme « le Vieux pattes de miel » et qui a la réputation d’un être colérique, protecteur des Ours-Garou. Et puis il y a le Grand Veneur, le Maître de la Haute Chasse, dont personne ne sait vraiment quelle place il occupe, qui demeure une énigme et dont la cour, aussi gracieuse que mortelle, se déplace en permanence.
Une Dryade
Membre du peuple des fées vivant en communion avec les arbres, elles sont le plus souvent d’une grande beauté. Leur peau peut rappeler l’écorce d’un arbre et leur chevelure les feuillages, changeant selon les saisons. Leurs yeux sont souvent d’une couleur étonnante. On les dit discrètes, solitaires et pacifiques, mais aussi attachées à protéger leurs forêts, se servant le cas échéant de leur charme féerique contre les intrus. Elles ont la faculté de passer par magie d’arbre en arbre ; entre arbres vivants bien entendu.
Une « rondes de sorcières » ou « cercle des fées »
Ces cercles grandissent avec le temps, les plus grands mesurant des centaines de pieds.
Bien des légendes leur sont attachées : ils seraient tantôt les traces laissées par la danse des sorcières lors du sabbat, tantôt la porte d’entrée du royaume des Fées. Naturellement, y entrer serait prendre le risque d'être enlevé par elles, envoûté à n’en pouvoir sortir, jusqu’à en perdre la vie, ...
Depuis l'installation du Dragon du côté des ruines d'Arbrefoudre, la forêt est devenue plus silencieuse.
Dans sa portion Nord, même à plusieurs heures de marche, la végétation se fait de plus en plus dense, luxuriante, mais de manière anormale : les racines et les branches sont tordues et déformées, les arbres semblent torturés, le feuillage prend des teintes grisées, une mousse filandreuse grise et brune, presque orangée, grimpe le long des troncs.
Il arrive que le voyageur ait la chance - ou la malchance - d'apercevoir un représentant du peuple des Fées, ces êtres capricieux, malicieux et parfois dangereux, qui ne se plient qu'à leurs propres règles.
Il existerait parmi eux une noblesse très hiérarchisée, qui échappe totalement à la perception commune : le Reine de la Nuit et de la Magie en est la souveraine, mais règne en alternance avec son mari, l’amer Roi baigné de Lune. Puis vient le Roi des Rivières, la Reine des Glaces, Le Roi Ours. La forêt du Talban se situerait d’ailleurs sur les terres de ce dernier, le plus faible politiquement parlant, que l'on surnomme « le Vieux pattes de miel » et qui a la réputation d’un être colérique, protecteur des Ours-Garou. Et puis il y a le Grand Veneur, le Maître de la Haute Chasse, dont personne ne sait vraiment quelle place il occupe, qui demeure une énigme et dont la cour, aussi gracieuse que mortelle, se déplace en permanence.
Une Dryade
Membre du peuple des fées vivant en communion avec les arbres, elles sont le plus souvent d’une grande beauté. Leur peau peut rappeler l’écorce d’un arbre et leur chevelure les feuillages, changeant selon les saisons. Leurs yeux sont souvent d’une couleur étonnante. On les dit discrètes, solitaires et pacifiques, mais aussi attachées à protéger leurs forêts, se servant le cas échéant de leur charme féerique contre les intrus. Elles ont la faculté de passer par magie d’arbre en arbre ; entre arbres vivants bien entendu.
Une « rondes de sorcières » ou « cercle des fées »
Ces cercles grandissent avec le temps, les plus grands mesurant des centaines de pieds.
Bien des légendes leur sont attachées : ils seraient tantôt les traces laissées par la danse des sorcières lors du sabbat, tantôt la porte d’entrée du royaume des Fées. Naturellement, y entrer serait prendre le risque d'être enlevé par elles, envoûté à n’en pouvoir sortir, jusqu’à en perdre la vie, ...
Depuis l'installation du Dragon du côté des ruines d'Arbrefoudre, la forêt est devenue plus silencieuse.
Dans sa portion Nord, même à plusieurs heures de marche, la végétation se fait de plus en plus dense, luxuriante, mais de manière anormale : les racines et les branches sont tordues et déformées, les arbres semblent torturés, le feuillage prend des teintes grisées, une mousse filandreuse grise et brune, presque orangée, grimpe le long des troncs.
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